Parfum du jour, bonjour ! Qui n’a pas envie parfois de changer de style selon son humeur du moment ? En matière de parfum, il y a celles et ceux qui restent des décennies durant fidèles à la même ou quelques mêmes fragrances. Et puis parfois sur un coup de tête ou par conviction, on passe des mois voire des années de sa vie avec toute une étagère remplies de jolis flacons dans sa salle de bain.

J’avoue qu’en vivant outre-mer durant cinq ans, il me fallait choisir avec perspicacité le ton olfactif à donner à ma petite personne. Question de tenue des jus entre chaleur et humidité déjà-simplement sur une journée ou quelques heures- et souci de conservation par 27 à 32 degrés. Même si les salles de bain étaient généralement ventilées mais pas climatisées.
De retour sous un climat plus favorable au parfum :
Ce n’est pas un hasard si les femmes du Pacifique se parfumaient ainsi que leurs époux avec des colliers de Kakala. Composés le matin même de fleurs locales éphémères autant qu’éblouissantes, ces colliers furent les ancêtres avantageux du parfum en Polynésie. J’ai toujours trouvé fantastique, la vitesse avec laquelle les fleurs s’ouvraient, embaumaient et disparaissaient (car elles étaient utilisées que ce soit pour honorer l’église ou pour finir le lendemain en colliers).
Le surlendemain, elles étaient déjà sur le compost alors que chez nous la fleur se cueille souvent trop tôt, limite se congèle pour être conservée durant un transport interminable avant de périr trop rapidement dans un vase. Pour faire court, j’avais opté pour un parfum ressemblant aux fragrances locales tantôt vanille, tantôt coco. Et cela me convenait très bien d’ailleurs.
Maintenant que nous sommes à nouveau en métropole, je m’octroie la liberté d’entamer plusieurs flacons de parfum. De la même façon que je retrouve des penderies entières me permettant des looks différents d’un matin à un autre. Modulo la silhouette évolutive actuelle et la météo aux températures descendantes.
Le parfum et ses extravagances :
Evidemment comme je n’ai pas un budget très extensible mais que je souhaite tout de même un parfum français de qualité, je me suis tournée vers quelques gourmandises de Jeanne Arthes et ses fragrances de Provence.
Les parfums dans la tendance qu’ils soient classiques ou révolutionnaires appartiennent trop souvent à de célèbres Maisons de Couture. Les tarifs en deviennent absolument inabordables.
Alors que parmi mes escapades gourmandes, je déniche parfois des pépites telles un chef-d’œuvre du meilleur pâtissier.
L’Eau de Parfum pour femme Jeanne Arthes Tea Time à Paris :

Après la fragrance macaron amande ou Pavlova, le voyage sucré se poursuit. En effet, je suis à présent le nez dans une tartelette citron. Entre citron et pomme croquante, un soupçon de gingembre s’est glissé pour réveiller les sens avec ses notes revitalisantes. De quoi vous envelopper de douceur avec le froid qui s’infiltre dans les foyers colmariens.
Vous aimez partir en balade à Paris ?
Après une promenade a Montmartre aux notes d’agrumes, de rose mais aussi de jasmin et de fleur d’oranger, voici une invitation à prendre place dans un café de Saint-Germain. Comment se souvenir de ces après midi ensoleillés en terrasse parisienne. Notes gourmandes de poire , mandarine ou encore framboise. Au café de Flore, baigné de lumière, savourez votre vanille sur un air de jasmin. Il se peut même que le caramel vous titille les sens en émoi.
Accoudée au balcon, face à la mer :

Insouciance de la French Riviera, joie de vivre en regardant l’horizon de la Méditerranée. L’Eau de Parfum pour femme Jeanne Arthes Collection Azur Riviera Sunset combine la fraîcheur des vallées et la beauté solaire de ses rivages. Un sillage fruité de cassis, de citron avec même un soupçon d’ananas. Par ailleurs un cœur velouté de pêche, de santal et de caramel. Laissez-vous envouter par cette ambiance de lumière des couchers de soleil du sud de la France.
Informations pratiques :
Flacon d’eau de parfum 100ml, 15€90.