
Ainsi les parfums célèbrent l’éternel et inaltérable secret des choses. Ils sont donc imaginaires et fantaisistes. Ils jettent par ailleurs un œil (un nez ?) indiscret derrière le grand rideau de la nature.
Noème en cinq fragrance :
Divin Part : J’aime savoir que tout ce qui n’est pas impossible finit par se produire. Presque métallique, cette fragrance me semble masculine.
Atitlan : J’aime savoir que le volcan est là même quand je ne le regarde pas. Plus fleurie, cette fragrance féminine est trop soutenue pour mon nez novice.
Kalahari : J’aime savoir que le désert est là même quand je ne le regarde pas. Une fragrance sauvage qui s’estompe toutefois assez rapidement pour laisser place à un sillage présent mais doux.
Abysse : J’aime me soumettre aux grands vertiges. Mon favori par sa fraîcheur. Un jus léger au premier abord qui laisse une trace de caractère. Totalement mixte voire masculine.
Naïca : J’aime savoir que tu es là où je ne t’attends pas. Plus dérangeant selon moi, un premier contact presque citronné qui devient capiteux presque médicamenteux.
Informations pratiques :
100ml / 170€ en vente chez Sens Unique, parfumerie de créateurs.
13, rue du Roi de Sicile
75004 Paris