Fergessen sera de retour le 22 janvier avec son nouvel album L’été chez Echoïd Prod
David et Michaëla, les deux membres du groupe Fergessen, cultivent en tandem leur indépendance depuis 2012 et de disque en disque, de concert en concert, donnent naissance à une pop Made in France, aux vertus énergisantes qui prend un nouvel essor avec la sortie de l’album L’été en début d’année.
Composé et réalisé sous la direction artistique d’Antoine Essertier, découvreur de Vianney, Boulevard des airs, Daran, ce nouvel album marque un tournant significatif pour Fergessen. Avec ses beats électro, ses basses synthétiques, et ses mots soignés, L’été est le fruit d’une belle maturation et de virages assumés. « Il y a aura des Faces A, des Faces B, des inclassables. » Et une nouvelle tournée, car la sortie de l’album sera à nouveau pour Fergessen l’occasion de sillonner les routes, de France jusqu’en Chine où une tournée est prévue en mars.
Un premier titre Old is Beautiful nous fait prendre la température et patienter jusqu’à la sortie de l’Eté, le nouvel album de Fergessen.
Point d’orgue d’une première trilogie discographique, « L’été » marque une évolution significative dans le parcours artistique de Fergessen et une transition affirmée vers une nouvelle esthétique musicale : beats électro, basses synthétiques, arrangements aériens et mélodies lumineuses viennent appuyer une plume soignée, directe, décomplexée.
Solide sur ses bases, vocales notamment, Fergessen ajoute des ingrédients à sa palette pour donner naissance à une « French Pop» vitaminée…renouvelable à l’infini puisque chargée à l’énergie solaire.
La rencontre avec Antoine Essertier a été le point de départ de cette mue artistique réussie. « Au studio d’Antoine, on boit de la Ricoré, de la Poire locale, et on cravache. Texte, mélodie, riff, structure, aucun détail d’une chanson n’est laissé au hasard. On n’appuie pas sur « Rec » à la légère, chaque chanson tient la route dans son plus simple appareil. Antoine est complet, cultivé, exigeant et honnête. Son imagination est sans borne et son point de vue sur le live aussi moderne et pointu qu’il ne l’est sur les mixes, en studio. Nous voulions évoluer, être tirés vers le haut. C’était l’homme de la situation. »