Aujourd’hui je vous raconte mon histoire d’amour avec la Haute Joaillerie. Drôle de passe-temps me direz-vous. Il faut avoir les moyens ! Pas forcément tant que ça. C’est en tout cas ces liens affectifs particuliers qui m’ont permis de découvrir la marque suisse Charriol.
Il y a très longtemps, j’étais jeune…jeune, grande, belle, demandée, enfin particulièrement par des marques pour lesquelles je pouvais potentiellement travailler. J’étais mannequin et par le hasard de ma naissance, devenue bilingue allemand-français. Les agences suisses recherchaient régulièrement et encore plus autour du printemps, des jeunes femmes pouvant présenter les montres et les bijoux aux salons de la Haute Joaillerie de Genève (berceau historique de l’histoire de l’horlogerie) et de Bâle. C’est ainsi que j’ai eu le bonheur de partir « faire Baselworld » plusieurs années de suite. Un univers de marques de luxe s’ouvrait ainsi à moi, le temps d’un salon 🙂
Tag, Ebel, Zénith, Charriol et les autres :
Ce temps révolu, je n’ai plus guère eu comme rapport avec ces marques merveilleuses que mon doux souvenir et une très bonne amie en Suisse.
Récemment à l’occasion de ma recherche d’idées cadeaux pour la fête des mères, c’est avec curiosité et plaisir, que je suis allée fouiner du côté de ces maisons prestigieuses que sont Chopard, Ebel, TAG Heuer… Je ne cherchais pas forcément une montre mais quelque chose de beau tout simplement.
C’est alors que j’ai découvert une marque familiale de la Haute Joaillerie fondée en 1983 par l’entrepreneur français Philippe Charriol. Ce marseillais de naissance connait bien le monde du luxe et les attentes des consommateurs, d’où ses succès en Asie dès la création de la marque, puis sur les marchés américains et du Moyen-Orient avant de s’étendre au reste du monde. Sur leur site se côtoient montres de luxe « made in Suisse », accessoires de haute joaillerie confectionnés en Suisse et en Allemagne, parfums, lunettes de soleil, stylos et maroquinerie.
Une griffe celtique, le câble d’or et d’acier :
Que vous soyez, prêtes à regarder passer le temps ou plutôt bijou intemporels, j’ai repéré quelques pépites. La nouvelle collection de bracelets et de bagues « Brilliant » joue avec des câbles bicolores. (autour de 456€ les bracelets et bagues de 206 à 320€).
Distribuée aujourd’hui à l’international, en Asie, au Moyen-Orient, aux États-Unis et en Europe, je n’avais jusqu’à lors pas remarqué ces motifs uniques de câble tressé caractéristiques de Charriol. Ces derniers se retrouvent dans la Collection Celtic. Les modèles brevetés de câbles d’or et d’acier emblématiques offrent un hommage contemporain à l’art des Celtes, ancienne civilisation européenne.
J’espère pouvoir dans quelques mois vous parler des montres Charriol. Auriez-vous craqué pour des modèles semblables aux miens ?
Voici des bijoux qui donnent l’heure à la précision suisse. Les unes sont en boîtier acier avec un cadran nacre blanche ou rose, décoré de 12 zircons – Le câble est bien entendu en acier donc inusable (1374€). Et le clin d’œil pour mon amoureux, la montre Saint-Tropez, un des modèles les plus iconiques de la marque Charriol est reconnaissable par son bracelet câble et sa chaîne-bijoux. Les éditions spéciales Saint-Tropez « Secrets » offrent une spécificité visible uniquement la nuit avec, selon le modèle un message tel que « Je t’aime » ou « Love »…(1585€)
Le site www.charriol.com permet de découvrir des petits bijoux, c’est le cas de le dire, de faire son shopping ou de préparer un achat dans l’une des 195 boutiques ou 3 800 points de vente à travers le monde.
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Merci très joli article bien écrit !..