Selon une étude, 40% des sondés disent jouer en priorité à des actions de société, tandis qu’ils sont 25% à se dire partisans des divertissements en plein air et des jeux sociaux sur Internet et 23% à se déclarer joueurs réguliers sur console ou ordinateur.
Non contents de bouder les game sur écran, les personnes interrogées considèrent aussi majoritairement qu’ils ont un impact négatif sur l’humeur. Alors que les activités de plein air, les jeux de société ou encore ceux manuels sont décrits en termes positifs, 34% estiment que les jeux vidéo nous font du bien.
La première émotion qui leur est associée est l’excitation (43%), suivie de la satisfaction (29%), mais aussi de la colère et de la frustration (26%). Deux sentiments que les Français interrogés sont seulement 8 et 9% à attribuer aux jeux de société. Le niveau de diplôme et le revenu mensuel net ont également un effet sur cette activité: plus ils sont élevés, et moins la perception de ce loisir est positive.
JVC constate que lorsque le divertissement vidéo a un but, il devient plus légitime. Que les joueurs soient rassurés, plus le temps passe, et moins les Français sont vieux jeux. D’autant plus que la relation de couple peut être aussi difficile qu’une partie de Call Of Duty, ce que beaucoup d’hommes JVC contrediront.