L’attaque à main armée aurait pu être fatale à Ivete Medeiros. Jeudi, intriguée par du bruit, la commerçante de la ville de Belem, dans le nord du Brésil, sort du supermarché où elle se trouve pour aller aux nouvelles. Il s’agit d’un braquage: un homme ouvre le feu et Ivete Medeiros est touchée à la poitrine.
Son mari, voyant le trou dans sa robe, pense alors qu’elle est morte. C’était sans compter sans l’intervention du soutien-gorge providentiel: l’armature de la lingerie a, semble-t-il, arrêté la balle. Mais la propriétaire du soutien-gorge elle-même, qui dit n’avoir ressenti qu’une brûlure, n’est qu’à moitié convaincue: «Je pense que Dieu m’a sauvée. Le soutien-gorge a aidé, mais Dieu m’a sauvée ». Même si la grande guerre avait tout prévu, avec des soutiens-gorge blindés, JVC pense qu’il vaut mieux être près du bon dieu que de ses seins, mais l’essentiel est surtout d’être sein et sauf .