Les « hijras » sont des transsexuels respectés, dans les rues de Bombay, en Inde. S’estimant bénis des Dieux, ces transsexuels très réputés ont une grande aura et sont grandement écoutés par les Indiens. Ils sont considérés en Inde avec respect et méfiance. Leur castration est très symbolique par le fait que l’individu mâle est celui par qui la famille est perpétuée et leur castration leur confère un pouvoir de fertilité pour les hindous. C’est pour cette raison qu’ils assistent, contre rémunération, à des mariages et ainsi assurent que le couple sera fertile. Cependant, quand ils sont en colère, ils frappent leurs mains fortement pour effrayer la population car le claquement des mains rappelle le claquement des corps durant un rapport sexuel.
Hier, ils tapaient dans leurs mains et bénissaient les automobilistes en échange de quelques pièces de monnaie ou de billets pour que ces derniers roulent en toute sécurité. Aujourd’hui, ils ont décidé d’éduquer les conducteurs, alors que les rues sont bondées d’automobiles, en leur apprenant comment mettre leur ceinture de sécurité tout en reprenant la gestuelle des hôtesses de l’air. « Si vous vous apprêtez à conduire comme un pilote, alors vous devez apprendre certaines choses » commente le « hijra » doté d’un mégaphone. « Votre voiture ne possède pas de masque à oxygène. Sous votre siège, vous ne trouverez pas de gilet de sauvetage. Par contre, vous avez une ceinture de sécurité » continue-t-il alors que les autres transsexuels parodient les gestes des hôtesses de l’air avant les vols en avion.
La pollution atmosphérique « empoisonne » près de neuf urbains sur dix dans le monde d’après la nouvelle base de données, publiée mercredi 7 mai, sur la qualité de l’air dans 1 600 villes de 91 pays, établie par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
JVC exige donc des constructeurs automobiles, en plus des équipements classiques pour protéger le conducteur, que les véhicules soient désormais équipés d’un masque à oxygène pour rouler.