Imaginez un poulet de 1,5 mètre de haut et de 3,5 mètres de long, une sorte d’oiseau géant de 200 à 300 kg ressemblant à un « poulet de l’enfer ». Voilà à quoi ressemblait le dinosaure qu’ont reconstitué les paléontologues américains, grâce à trois squelettes retrouvés dans le Dakota, au nord des États-Unis.
Il aurait vécu il y a 65 millions d’années, une période proche de l’extinction des dinosaures.
Le poulet du futur sera adapté au réchauffement climatique
L’Institut national de la recherche agronomique (INRA) a présenté des volailles résistantes aux températures plus élevées lors du Salon international de l’agriculture, qui s’est tenu en février à Paris à la porte de Versailles.
Elles sont «à cou nu», «frisées» ou «à crête». Une sélection naturelle de volailles a donc été effectuée, afin de faire en sorte que les poulets aient le maximum de peau nue possible. Ils peuvent ainsi mieux résister aux pics de chaleur. Une autre catégorie de poulets a été étudiée, ceux qui ont une large crête et qui, de ce fait, peuvent plus facilement dissiper la chaleur.
JVC s’interroge pleinement comment le colonel Harland Sanders fondateur de KFC (Kentucky Fried Chicken) aurait réagi culinairement face à un « poulet de l’enfer ».